Supmicrotech, une institution d'enseignement supérieur pour ingénieurs, concepteurs et dessinateurs spécialisée dans la formation des passionnés de l'horlogerie 


Supmicrotech est une école d'ingénieurs renommée qui se consacre à la formation des individus passionnés par l'horlogerie. Dotée d'une expertise reconnue, elle offre un environnement propice à l'apprentissage et à l'épanouissement des futurs professionnels de ce domaine fascinant.

L'école se distingue par sa volonté de former des ingénieurs hautement qualifiés, capables de relever les défis techniques et esthétiques de l'industrie horlogère. Les étudiants bénéficient d'un programme d'études complet et équilibré, alliant les connaissances théoriques, les compétences pratiques et l'expérience professionnelle.

Au sein de Supmicrotech, les étudiants ont accès à des ressources pédagogiques de pointe, telles que des laboratoires de recherche et des équipements de pointe, leur permettant ainsi d'explorer les aspects les plus avancés de l'horlogerie. De plus, l'école entretient des partenariats solides avec des entreprises prestigieuses du secteur, offrant ainsi des opportunités de stages et d'insertion professionnelle.

L'établissement d'enseignement d'ingénierie célèbre son 120e anniversaire, et un grand nombre de ses diplômés exercent dans le domaine de l'horlogerie, notamment en Suisse.

Marie-Aude Acker, quant à elle, a consacré de nombreuses heures à dépoussiérer d'anciennes pendules de ce type, celles qui ornaient les salons de nos grands-parents. Aujourd'hui, en tant que dirigeante de la start-up Keris à Neuchâtel en Suisse, elle propose une pendule mécanique 2.0. "Avec mon associé, nous cherchons à susciter l'amour de cet objet chez les générations plus jeunes en travaillant sur son esthétique et ses fonctionnalités contemporaines", explique-t-elle.

Aujourd'hui, l'établissement accueille plus de 250 étudiants par promotion, dont une cinquantaine suivent une formation en apprentissage. Le taux d'insertion professionnelle s'élève à près de 93%. Les diplômés trouvent des emplois dans des secteurs tels que le transport, l'aéronautique, l'automobile, ainsi que dans le domaine du luxe et de la santé. Environ 15 à 20% des diplômés travaillent dans l'horlogerie, en particulier en Suisse, à l'image de Marie-Aude. La vallée de la Chaux-de-Fonds est en effet l'un des principaux centres horlogers suisses. "Les salaires de l'autre côté de la frontière sont attrayants", souligne le directeur de l'école bisontine. En général, ils avoisinent les 80 000 euros par an pour un ingénieur débutant, voire 100 000 euros dans les entreprises de luxe. "Les entreprises de la région ont du mal à retenir leurs diplômés".